mercredi 24 février 2010

FORTE, ÉMOUVANTE ET ADMIRABLE JOANNIE !

Peu d'athlètes ont pu maîtriser une situation aussi difficile que celle à laquelle a fait face la patineuse artistique Joannie Rochette. Mardi le 23 février 2010 aux J.O. de Vancouver, confrontée au deuil de la mort subite de sa mère, elle devait performer au plus haut niveau et faire fi de la pression énorme écrasant ses frêles épaules. Ceux qui ont essayé de vaincre une telle adversité, dans une discipline sportive où l'équilibre émotionnel est aussi primordial que l'équilibre sur patins, doivent être extrêmement rares. Plus souvent qu'autrement, incapables de se concentrer et d'oublier leur malheur et leur tristesse, des compétiteurs plus coriaces ont renoncé, ont échoué ou se sont effondrés. Pas notre forte Joannie, notre fierté nationale ! Elle a livré la meilleure performance de sa vie ! Chapeau !

Dans les images (voir diaporama ci-dessous) qui nous sont parvenues d'elle avant que la tragédie la frappe brutalement, on la voit confiante et souriante. Durant les entraînements qui suivent l'annonce de la terrible nouvelle, on la voit souffrir, douter et ramasser son coeur en mille miettes. Puis vient la performance sans faute, éclatante, devant les yeux de millions de téléspectateurs touchés par son exploit. Un exploit qui va bien au-delà d'une médaille olympique et qui mérite plutôt une couronne de reine du stade !

Bien sûr, comme dans tous les pays, il y a des racistes au Canada, des anglophones qui n'aiment pas les francophones du Québec, ces "nègres blanc d'Amérique". Mais gageons que la courageuse Québécoise de l'Île-Dupas avaient beaucoup d'amis de toutes les races dans les estrades devant lesquelles elle a si bien patiné et dans des millions de foyers où tous les Canadiens ont pu apprécier sa brillante performance par le truchement de la télévision. Les yeux secs devaient être rares. Car voir une amie pleurer...comme a si bien écrit l'immortel Jacques Brel, et comme le chante magistralement Lara Fabian, ça remue bien des sentiments, sauf la haine et le racisme...

lundi 22 février 2010

COURAGE JOANNIE !


Après le décès subit de sa mère, on ne sait trop comment la championne canadienne de patinage artistique, Joannie Rochette, trouvera le courage de compétitionner aux Jeux Olympiques de Vancouver. On peut à peine imaginer quel bouleversement la jeune femme de 24 ans vit actuellement. Un tel drame, comme celui du lugeur de la Géorgie décédé juste avant l'ouverture des Jeux, ravive l'esprit de famille et les valeurs les plus fondamentales des athlètes qui participent aux Olympiques. Bon courage et bonne chance à Joannie !

Le montage de photos qui suit a été fait sur la chanson D'UNE MÈRE À SA FILLE de Dark Sanctuary. En changeant deux mots des paroles de cette oeuvre, cela pourrait tout aussi bien devenir D'UNE FILLE À SA MÈRE...

«Serre moi encore contre ta poitrine,
Puis touche le ciel aux côtés des anges,
Puis reviens parmi nous,
Ou tu prendrais sans doute Sa couronne,
Dors, plus rien ne te touche maintenant,
Mes yeux pleurent mes espoirs,
Le souvenir de ton sourire,
Ton être tout entier.

Où que tu sois, ne m'oublie pas,
Ici ta voix résonnera encore et toujours,
C'est un nouveau monde qui s'ouvre à toi...
Mais c'est un monde où je ne suis pas.»

samedi 6 février 2010

SEXE OU BACON ? POURQUOI PAS LES DEUX !

Un récent sondage révèle que 43% des Canadiens préfèrent le bacon au...sexe ! Le pourcentage varie d'une province à l'autre. Ainsi, en Colombie-Britannique, il s'élève à 50%, tandis qu'au Québec il baisse à 37%. Avis aux femmes qui se parfument pour séduire leur homme : 23% des "mâles" préfèrent l'odeur du bacon à toute autre odeur... Enfin, 18% des répondants affirment que, certains jours, ils ne pourraient pas survivre sans bacon.

Mais quelles réponses les sondeurs obtiendraient-ils si, comme sur la photo ci-haut, ils offraient aux gars à la fois bacon et sexe, ou bacon sur sexe ? Hum... Difficile de choisir. Ils prendraient sûrement les deux !

«Les premières étreintes sont toujours un peu ratées. On se jette l'un sur l'autre, à l'aveuglette; poussé par trop de hâte on ne prend pas le temps de faire connaissance avec une peau, une odeur, un sexe étrangers.»

Françoise Giroud, Extrait de Mon très cher amour.

«Le sexe, comme la nourriture, peut se consommer n'importe quand, n'importe comment, avec ou sans faim. Mais l'intimité, comme la saveur, vient par surcroît.»

Altaf Tyrewala, Extrait de Aucun dieu en vue.